Maroun MOUBARAK

J’ai commencé à pratiquer l’aïkido au Club de Courbevoie en 2012. Entre l’Aikido Club de Courbevoie et moi, tout se passait très bien et même tellement bien qu’en 2015, j’en suis devenu le Président.

L’enseignement reçu m’a permis de passer et d’obtenir la 1re Dan ainsi que le diplôme du brevet fédéral.

Pour moi, l’aïkido, ce n’est pas qu’une discipline sportive, c’est un tout qui associe :

  • l’harmonie
  • la quiétude
  • le contrôle de soi et de l’autre, sans agressivité.

Il ne faut pas se figer dans un style unique, il faut diversifier et multiplier les styles à pratiquer. Il faut également sans cesse améliorer l’efficacité des techniques pour conserver l’esprit en mouvement.

Philippe DUC

Philippe DUC

Après quelques années de karaté, Philippe s’est orienté vers l’Aïkido. Il a côtoyé de nombreux enseignants, en France, à l’étranger et lors d’un séjour au Japon. En France, ses principaux enseignants ont été Louis Boileau, Alain Floquet, Pascal Durchon, Alain Tendron et Jean-François Douche. Aujourd’hui il se perfectionne en suivant les cours de Bernard Palmier et Christian Tissier.

Il est 6e DAN, brevet d’Etat et enseigne à l’Aïkido Club de Courbevoie depuis 2001.

Il a également pratiqué la boxe thaïe, le Ju-Jitsu.

Le mot du prof :
« L’aïkido est polymorphe dans son expression et on doit essayer de dépasser le côté purement mécanique ou reproduisant les techniques vues pour apprendre à s’exprimer dans le cadre de l’Aïkido. Sinon on risque de figer sa pratique. De plus une pratique qui ne serait que reproduction ad integrum de ce qui est appris est antinomique par rapport aux principes humains : comment imaginer que pour une attaque avec un partenaire donné une personne qui mesure 160 cm et pèse 55 kg fasse exactement le même mouvement qu’une autre de 195 cm et 98 kg ? »